Dimanche...

Je n'arrive pas à me servir de ton blog comme toi tu saurais le faire mais je crois aussi que les fonctionnalités ont changé et que c'est plus compliqué qu'avant. Je pense que ce n'est pas vraiment important. Ce qui compte réellement, c'est qu'il dure encore un peu. J'ai laissé partir l'autre, je n'aurai pas dû mais je ne l'ai pas voulu... évidemment ! Donc, celui-ci, j'ai bien envie qu'il vive encore.

Si ce n'était pas le cas, ça ne m'empêcherait pas de penser toujours à toi. Tu n'y peux rien, ce n'est pas de ta faute. C'est comme ça et c'est très bien, tu sais. Ne t'inquiète pas... Je vais bien mais je ne peux pas dire le contraire non plus et tu sais très bien que tu me manques, qu'une partie de moi est partie avec toi et que ce sera toujours le cas.

                                 Je t'aime, Fabrice. Je t'aimerai toujours...